Perles Doucehadama - France Perles
Pour tout savoir sur la perle doucehadama, la fleur des perles d’eau douce
Qu’est-ce que les perles doucehadama ?
Les perles d’eau douce de type DouceHadama figurent parmi les plus beaux spécimens sur le marché. Lors du tri, ces dernières sont repérées et mises de côté, séparées du reste du lot. Elles sont commercialisées par certaines fermes perlières comme un modèle de production rare. Pour avoir un bel assortiment afin d’en faire un bijou, par exemple, il est conseillé de prendre tout le lot. En effet, la rareté de la pierre fait que les acheteurs préfèrent ne pas prendre le risque de passer à côté d’une telle occasion. Chez France Perles, la réception des perles est brute, c’est-à-dire que la marchandise arrive non montée, non percée et sans intervention humaine. Nos équipes prennent le soin de faire le tri selon la colorimétrie et la luminescence avant de procéder au montage. Ce dernier se fait sur des pièces uniques de nos collections afin de donner à chaque bijou sa propre personnalité. Les DouceHadama sont réputées pour leur brillance qui se reflète parfaitement sur leurs courbes sans défauts.La perle doucehadama ou la fleur des perles d’eau douce
Qui dit perle DouceHadama, dit perle de luxe. Elle est synonyme de beauté et pureté grâce à son lustre tout à fait hors norme. Son effet miroir fait qu’elle se distingue parmi les autres catégories de perles.
Sa forme arrondie, lisse et luisante évoque la féminité dans sa forme la plus charnue. Afin de mettre en valeur ces caractéristiques, le lustre vient apporter la touche finale. Il est surprenant de retrouver un tel spectre en sachant qu’elle est entièrement issue de la nacre d’un mollusque.
France Perles a le privilège de pouvoir manier ces perles pour en faire des bijoux qui impressionnent les meilleurs professionnels du domaine de la joaillerie. Pour un objet de si haute gamme, il faut des mains entraînées afin de dompter cette beauté sauvage sans l’atténuer.
L’existence des perles d’eau douce ne date pas d’hier. Elles ont toujours été présentes dans des étangs, des rivières et d’autres étendues d’eau faisant office d’habitat naturel des mollusques bivalves. Ce terme fait référence au mode de nutrition particulier adopté par ces spécimens.
C’est grâce à un système d’ouverture et repli que l’animal marin capte les micro éléments contenus dans l’eau. Il suffit qu’un corps étranger soit ingéré par erreur pour que le mollusque se mette en mode défense. Il va sécréter une substance visqueuse appelée nacre qui va venir entourer l’agresseur.
Ce phénomène étonnant et vieux comme le monde est la raison pour laquelle vous jouissez de jolies perles ainsi créées.
Pourquoi parle-t-on d’Eau Douce ?
Le terme eau douce, par opposition au terme eau salée, désigne la différence entre les deux flottes de par leurs contenus, leurs contenant et leurs constitutions. Évidemment, les eaux salées sont les plus répandues et le nombre de perles qui y fleurissent est important.
Ainsi, la majorité des cultures se situent dans les océans, les mers, etc. C’est pour cette raison que les perles d’eau douce, notamment les DouceHadama, sont si rares et si convoitées.
Histoire des perles d’eau douce
Il y a fort longtemps que l’Homme à fait la découverte de ces objets à la couleur unique et à la forme douce provenant des mollusques. L’humain, intrigué par une telle beauté, n’a pas attendu longtemps avant de l’exploiter. Dans un premier temps, elles furent utilisées comme monnaie d’échange, mais elles devinrent rapidement ce qu’elles sont aujourd’hui : un bijou.
Ce qui fait la spécificité des perles, c’est qu’elles sont utilisées telles quelles. L’intervention humaine n’est pas nécessaire comme c’est le cas pour les autres pierres précieuses.
Ainsi, cet ornement sauvage garde toute sa nature et se démarque des autres minéraux en étant totalement authentique. Il suffit de puiser la matière première que sont les mollusques et d’en tirer les jolies nacres solidifiées. Certains les collectionnent comme elles sont, d’autres préfèrent les percer ou les accommoder pour en faire un accessoire prestigieux qui apporte de la grâce à son détenteur.
Au cours des millénaires, plusieurs légendes ont été attribuées aux perles. Certains disent que l’homme préhistorique en connaissait déjà l’existence. Chez les perses, elles sont appelées larmes des Dieux. Elles atteignent cet état solide en rentrant en contact avec l’eau.
Chez les Grecs, ce serait la rosée du matin avec l’aide de la lune qui se transformerait en perle une fois piégées dans les mollusques.
Les propriétés de l’astre enchantent l’eau pure en faisant cette jolie boule de lumière à la portée de l’homme.
Les romains, quant à eux, avaient un récit similaire mais plus poétique. Ces gemmes seraient le produit de Vénus mêlant ainsi Dieux, amour, spiritisme et dame nature.
Les arabes apportent leur grain de sel en donnant une version de l’histoire attrayante. La pierre serait une fraction de lumière de lune qui se serait retrouvée piégée dans les fins fonds de l’océan. Dans les abysses, la magie opère menant ainsi à la matérialisation d’un spectre de lumière en jolie pierre aux couleurs intrigantes.
Les perles d’eau douce dans le détail
La Chine berceau de beaucoup de trésors naturels renferment un bon nombre d’étendues d’eau douce. Ainsi, il n’est pas étonnant de retrouver dans la littérature remontant à plus de deux millénaires des ouvrages faisant références aux perles.
Les chinois ont directement attribué la notion de précieuse à ces petits bijoux aquatiques. Durant des milliers d’années, l’Homme a su s’en procurer pour en faire des ornement et bijoux ou les conserver simplement en l’état.
En Europe, les premières traces de perles sont surtout retrouvées dans les reliques religieuses. Ces objets sacrés étaient décorés à partir des matériaux les plus prestigieux d’où l’utilisation de la perle d’eau douce. Néanmoins, la forme arrondie les rendait plus seyantes pour la confection de bijoux.
Des traces ont été retrouvées en Ecosse et aux États-Unis d’Amérique selon certaines recherches. Malheureusement, avec l’avènement de la pollution des eaux et de l’environnement en général, les perles sont devenues rarissimes et à certains endroits elles ont carrément disparu.
Il faut croire que ce spécimen de couleur pur ne croît que dans un environnement qui lui ressemble, c’est-à-dire hors de la portée des hommes.
Pendant que les japonais inventaient la notion de perles de culture, les chinois se sont focalisés sur la recherche des perles d’eau douce. Ainsi, les nippons produisaient des produits bien finis de tailles et couleurs homogène, ce qui rendait les pierres très standards.
Les mandarins, de leur côté, sillonnaient les étendus d’eau pour dénicher des mabés, c’est-à-dire des nacres collés à la coquille mère.
Il n’était pas question de cultiver le spécimen, mais plutôt de s’armer de patience dans l’espoir que la nature les gratifie de mollusques renfermant ce bijou. Ce qu’il y a de beau dans cette démarche, c’est la conservation du critère de valeur et de patience afin d’être récompensé par un cadeau de dame nature.
Les pierres ainsi récoltées avaient des formes souvent inhomogènes et baroques qui ne plaisent qu’aux personnes capables de comprendre leur vraie beauté..
Finalement, il a fallu attendre le XXe siècle pour que la perliculture des perles d’eau douce prenne naissance. Ce fut les japonais qui se lancèrent en premier en prenant avantage de la géographie locale. Le lac de Biwa situé au nord de Tokyo ainsi qu’un grand lac près de l’ancienne capitale furent donc choisis pour cet essai.
Ce n’est qu’après quelques décennies que cette culture a vraiment pris son essor. C’est à peu près à la même période que les chinois ont décidé de leur emboîter le pas en raison du très grand nombre de ressources naturelles disponibles sur leur terre. Au début, ils ne parvenaient pas à cultiver ces pierres d’eau douce.
Il faut savoir que cet art n’est pas à la portée de tous et que le savoir-faire requis se transmet dans des cercles bien fermés. Il a fallu négocier pour que les japonais acceptent de transmettre leur savoir aux voisins. Grâce à l’hygiène, la maîtrise et la patience des chinois, ils ont finalement réussi à faire de la perliculture un domaine de prédilection.
Malheureusement, la deuxième guerre mondiale et ses répercussions écologiques ont mené à la destruction d’un bon nombre de sites de perliculture. Les lacs n’ont jamais recouvert leur pureté d’antan. De cette aventure, ne subsiste que le terme perle de Biwa qui fait référence à la perle d’eau douce en général.
À l’état sauvage, le coquillage le plus récolté était celui qui donnait des perles mabés ou de forme bouton. L’absence d’intervention humaine faisait du mollusque Cristaria Plicata le spécimen le plus répandu. Ce dernier a été dénaturé petit à petit pour permettre les cultures humaines.
Le résultat fut une disparition des mollusques sauvages au profil des espèces modifiées par l’Homme. Du côté du rendement, celui-ci était bien plus important et les perles trouvaient enfin leur forme ronde et stéréotypée. La perliculture a également permis de réduire les prix sur le marché rendant les bijoux plus accessibles au public.
Évidemment, les gens étaient réceptifs à ces changements en oubliant rapidement la disparition des cultures sauvages. Les puériculteurs plus traditionnels ont essayé de s’opposer à ce concept de domestication des mollusques sauvages en insistant sur la perte des notions sacré et rare des perles.
Néanmoins, les commerciaux japonais et chinois n’en démordent pas et après un débat acharné, les perles de cultures d’eau douce trouvent toute leur place sur le marché de la joaillerie. Après cette approbation, les deux pays asiatiques se sont rapidement lancés dans une production plus importante de cette nouvelle pierre précieuse. Au début, les critiques n’étaient pas conquises, ils parlaient de la perle comme d’un objet médiocre, difforme, sans véritable charme ni lustre. Les petits prix qu’elles valaient n’ont fait qu’ajouter de la poudre sur le feu. Il était inconcevable qu’une pierre précieuse se vende à une somme aussi dérisoire. En effet, un bijou se doit être cher et c’est en partie ce coût astronomique qui poussait les gens à les valoriser. De plus, plus le prix payé est exagéré, plus le client a l’impression d’avoir acquis un objet précieux. Quelques années après, la Chine a décidé de changer de stratégie. Pour avoir un produit rentable, il fallait se démarquer des autres.
Ainsi, la culture du mollusque Cristaria Plicata a été abandonnée au profit d’une espèce plus productive, de forme plus géométrique appelée Hyriopsis Cumingi. Ce changement de direction a permis à la production chinoise de renaître de ses cendres. Les perles étaient plus nombreuses, plus belles et de meilleure qualité. La réduction du nombre de greffons a également été une idée brillante. Certes le nombre de perles par mollusques diminue, mais leur qualité est nettement supérieure. Les retombées se sont immédiatement fait sentir. Le public et les critiques étaient sous le charme de cette pierre à la forme sphérique bien galbée.
De plus, le lustre obtenu était unique au monde et les perles sont DouceHadama sont devenues ce qu’elles sont aujourd’hui : un produit unique, reconnaissable parmi 1 000 autres et bien trop rare.
Les teintes naturelles des perles d’eau douce sont nombreuses et ont une douceur en caractère commun. Vous trouverez donc le classique blanc, le reposant violet lavande, le délicat rose pêche et tous les spectres se trouvant entre ces trois déclinaisons. En somme, c’est une sorte d’arc en ciel pastel lacté qui défile devant vos yeux. Les perles d’eau douce sont produites en monobloc par le mollusque.
C’est-à-dire qu’elles ne se composent que d’une seule matière qui est le nacre. Cette caractéristique ne permet pas d’avoir le jeu de transparence qu’offrent les perles d’eau salée. Celles-ci sont touchées au cours de leur fabrication par la saline qui modifie le lustre en donnant cette couche transparente reflétant la lumière. Le résultat est évidemment une pierre haute en couleur avec un effet de profondeur. Néanmoins, dans le cas des perles DouceHadama, le spectre de lumière et le lustre se rapprochent étonnamment des cultures sur mers.
La qualité de perles DouceHadama avec France Perles
Les perles de catégorie DouceHadama possèdent un lustre si brutal que même les professionnels se trompent parfois quant à leur origine. En effet, elles ressemblent comme deux gouttes d’eau à un autre genre de perle appelé Akoya issu d’eau salée.
Vous comprendrez qu’il faut faire appel à un expert dans ce domaine afin de faire la différence entre ces deux jolis bijoux sphériques aux couleurs hypnotisantes.
C’est dans le but de recenser et protéger ces spécimens que des groupes comme Kevalex dont fait partie France Perles existent. Ce genre de perles se doit d’être protégé et traité avec le soin qu’elles méritent, que ce soit pour leur beauté matérielle ou pour le charme de leur origine.
Le labeur des perliculteurs est également à prendre en compte dans le traitement des perles DouceHadama. La forme pure sphérique et la surface lisse dénuée de tâche les classent dans la catégorie triple A.
Pourquoi ce terme DouceHadama ?
Au Japon, le terme utilisé pour désigner les plus belles perles est Akoya. Ce mot synonyme de fleur des perles reflète la fierté japonaise et la reconnaissance de la valeur de leur produit. Ce mérite est évidemment justifié en voyant l’effort fourni que ce soit sur le plan de la recherche ou de la culture.
Il n’y a pas de doute à avoir, les nippons ont mis au monde un produit de qualité supérieure digne de leur exigence. Néanmoins, dites-vous qu’il y a encore mieux.
En effet, le mot Hanadama fait référence à la crème des perles Akoya. Il s’agit donc de ce qui se fait de mieux dans le pays voire dans le monde. C’est donc avec fierté et respect que France Perles à l’honneur de travailler avec ce produit exceptionnel. Chaque bijou, chaque ornement est unique et reçoit un certificat d’authenticité provenant tout droit de Tokyo.
Le mot DouceHadama est donc une façon de désigner la reine des perles d’eau douce. Le label triple A ne fait que confirmer ce que les japonais ont déjà démontré, c’est-à-dire un produit qui ne se trouvera nulle part ailleurs.
Avec tout ce prestige, il est naturel de ne pas pouvoir s’en procurer facilement. En trouver est déjà un défi de taille et même si vous y arrivez, rien ne garantit que le propriétaire sera prêt à s’en délaisser.
Évidemment, tout ce qui est rare à un prix et dans le cas de perles DouceHadama, le coût est largement mérité. De plus, France Perles se permet de proposer des coûts concurrentiels afin de s’assurer la fidélité et la satisfaction de ses clients.
En plus de combler les acheteurs, France Perles et le groupe Kevalex se fixent pour objectif de protéger la qualité des produits et de s’assurer de leur authenticité pour se garantir la confiance des intéressés
Aujourd’hui, les perles d’eau douce s’imposent comme un concurrent redoutable des perles d’eau salée. Elles réussissent à combler pleinement la clientèle aussi exigeante soit-elle. La petite taille de la gemme constitue son plus grand handicap, mais la perle a su en tirer avantage en en faisant un élément qui la distingue et une source de changement par rapport au reste des pierres.
Ainsi, pour un prix plus intéressant, vous aurez des bijoux uniques et rares. Si vous voulez vous faire plaisir ou faire plaisir à un être aimé sans pour autant vous ruiner, les perles d’eau douce sont la solution parfaite.
Un autre avantage, et pas des moindres, que présente la perle DouceHadama est sa résistance. En effet, le fait qu’elle ne soit constituée que de nacre en fait une pierre qui ne souffre pas de la déshydratation et qui supporte toutes les températures et pressions. Libre à vous de la poncer si la forme ronde de vous convient pas, elle n’en sera que plus belle.
Le marché de la perliculture d’eau douce reste dominé par la Chine et le Japon. La forte demande pousse ces deux pays à produire plus, mais pas nécessairement moins bien. La recherche et le perfectionnement des techniques déjà existantes sont constamment mis à jour.
Chaque année, des centaines de tonnes de perles sont destinées à la joaillerie. Pour avoir un ordre d’idée de la rareté des DouceHadama, dites-vous que pour 1 000 perles récoltées, seule une sera classée triple A. Ensuite, parmi les rares triples A, 5 % uniquement seront à la hauteur pour figurer dans la catégorie des DouceHadama.
Aujourd’hui, de nouvelles pistes sont explorées dans le but d’augmenter la quantité et la qualité de production. Parmi les procédés, l’utilisation de mollusques différents est une stratégie intéressante. Un nom de fait de plus en plus entendre, celui de Hyriopsis Schlegeli. Il s’agit d’une moule d’eau douce issue du lac Biwa au Japon.
Un beau retour aux sources très poétique qui bouclera la boucle de la perliculture d’eau douce. Il faudra toutefois faire attention car cette espèce est sensible et requiert des conditions bien spécifiques que ce soit barométrique, atmosphérique ou de chaleur.
Même si cette piste n’est pas encore bien codifiée, les chercheurs se lancent déjà dans une nouvelle aventure, celle d’un mollusque hybride. Ce dernier serait moitié Hyriopsis Schlegeli, moitié Hyriopsis cumingü une espèce qui a déjà fait ses preuves.
Dans un avenir proche, les chercheurs se lancent le défi de développer le diamètre des perles d’eau douce. Cette idée a pour but de rivaliser avec les pierres de culture saline, surtout si les prix restent les mêmes. La piste actuelle consiste en une perle mère, c’est-à-dire introduire un nucléus dans la greffe.
Si l’expérience réussit, le marché se retrouve inondé d’ici quelques années de pierres faisant le double de la taille de celles actuelles. En attendant cet avenir, l’humanité se contentera des jolies petites perles DouceHadama qui suffisent à combler les yeux et le cœur.